Scènes de l’Équateur
Les chenilles sont une source importante de revenues et de protéines pour les populations. Elles sont séchées au soleil pour permettre leur conservation.
La majorité du bois de chauffe est collecte par les femmes, qui ont tendance a collecter du bois mort plutôt que de couper des arbres. Ce travail prend beaucoup de temps et avec une population grandissante, elles sont obligées de s’aventurer de plus en plus loin pour trouver du bois.
Le Dr. BUSH et le Dr. WALKER ont parcouru sur les limites de Bokumu Mokola et ils ont ainsi traversé plusieurs kilomètres de forêt primaire et secondaire.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
Le fleuve Congo est la principale voie de communication entre Mbandaka et Kinshasa. Ici une barge remplie de bière a accosté pour la nuit à Mbandaka.
Les enfants se déplacent souvent sur les rivières et y pèchent ou collectent ce qu’ils peuvent trouver.
A l’Equateur, la déforestation avance petit à petit, principalement due au besoin de terres arables pour l’agriculture itinérante sur brulis.
Malgré le fait que la papaye pousse très bien à l’Equateur, il est rare qu’elles soient activement plantées, car la consommation de fruits a une connotation négative comme une nourriture pour les pauvres ou les enfants.
Ce caméléon a été trouvé par un enfant lors de la visite d’un village pilote du Projet Equateur, cela porte chance selon la tradition !
Comme le veut la tradition, des cadeaux sont souvent offert à un invité. Ici un poulet a été offert au Dr. BUSH.
La forêt est souvent déboisée pour obtenir un sol fertile pour la culture de manioc ou de maïs. Ici un bananier plantain a également été planté en association.
Les chenilles sont un met réputé en RDC. Celles-ci sont récoltées en forêt pendant la saison, elles représentent une source de protéine, mais également une source importante de revenus.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
La RDC est le premier consommateur mondial de manioc, mais le tubercule doit être transformé de façon appropriée avant d’être mangé, car il contient du cyanure.
Le charbon de bois, appelé localement “makala”, est la principale source d’énergie pour la majorité de la population en RDC et la demande est importante dans les centres urbains. Le makala produit à l’Equateur est acheminé vers Kinshasa sur des pirogues dans l’espoir d’obtenir un meilleur prix en ville.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, avec l’aide du technicien de l’EADE, Robin BRUNET, ont réussi à attirer des abeilles dans une ruche au bureau du Projet.
La pulpe blanchâtre du cacao est sucrée, cela contraste fortement l’amertume des fèves dont la renommée n’est plus à faire à travers le monde.
Chaque espèce de chenilles est attirée par un arbre en particulier. On trouve des chenilles en larges quantités lors de la saison de reproduction.
Les palmiers poussent abondamment a l’Equateur et suivant l’espèce peuvent être utilisés pour produire de l’huile, du vin ou des toits de chaume.
Les arbres à chenilles sont facile à repérer en forêt, car les chenilles ont dévoré leurs feuilles les laissant dénudés.
Comme le village de Bokumu-Mokola est assez isolé dans la forêt et les routes d’accès en mauvaises conditions, les enfants du village n’ont pour la plupart jamais vu d’étrangers.
Le fleuve Congo est majestueux et rempli de véritables iles flottantes de végétation à certaines saisons. A son point le plus large, le fleuve fait plus de 10 km de large.
Du à l’état des routes et aux couts élevés des transports, le vélo reste le principal mode de transports de marchandises dans une grande partie de l’Equateur. Ceux-ci sont alors chargés avec autant d’huile de palme ou autres que possible dans l’espoir d’obtenir un prix plus élevés dans les centres urbains.
A l’Equateur, le bétail est en général en divagation et peut ainsi endommager les cultures si celles-ci ne sont pas gardées.
Le manioc a l’avantage d’être relativement simple à produire et les feuilles sont préparées localement dans un plat appelé “mpondu”.
Le lapin est un animal intéressant pour les petits producteurs, car il a une croissance rapide et se reproduit rapidement.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Le Dr. WALKER et le Dr. BUSH relève cette placette comme déboisée à l’aide d’un GPS pour la comparer avec l’analyse faite des images satellites.
Le maïs est l’aliment de base au nord de la Province, il est préparé sous forme de farine, fermenté ou grillé en accompagnement de viande de chèvre par exemple.
L’équipe du Projet Equateur a été accueillie dans un ménage pendant une averse et offert un petit encas : manioc et chenilles à la sauce arachide.
L’expert agricole de l’EADE, Robin BRUNET, vérifie la cuisson de brique pour la construction d’une école. C’est un travail difficile dans le climat déjà étouffant de l’Equateur.
La vie à l’Equateur n’est pas facile, le Dr. Walker et le Dr. Bush essaye d’installer une pompe pour le puit au bureau de Mbandaka.
La surpêche est un vrai risque pour les stocks de poissons à l’Equateur. Les Equatoriens sont très fières des espèces unique de poissons que l’on trouve dans le fleuve Congo et ses affluents, mais les stocks de poissons sont aujourd’hui à risque du a une croissance démographique bondissante et des pratiques de pêche non-durables.
Des nombreux fruits que l’on trouve à l’Equateur sont inconnus en Occident. Celui-ci est sucré et rappelle vaguement le gout de la poire, il est appelé échotier-monseigneur du à sa ressemblance avec la coiffe des ecclésiastiques catholiques.
Historiquement, le palmier à huile était l’une des principales culture a l’Equateur, mais actuellement la plupart des plantations sont abandonnées.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Le perroquet gris est présent à l’Equateur, mais il est en danger. Celui-ci est gardé comme animal de compagnie dans une paroisse près de Gemena.
Le ramboutan est un fruit sucré de la famille du lychee. Les ramboutaniers du jardin botanique murissent doucement. Quand ils seront mure, ils auront une couleur rouge vif.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, parle du changement climatique et de ressources forestières a la population de Buya I.
Le bois de santal est rougeâtre et utilisé en médecine traditionnelle pour traiter les problèmes de peau.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
Le Point Focal Provincial REDD+, Joseph ZAMBO, et l’équipe du Jardin Botanique d’Eala discute de de l’emplacement de placettes expérimentales dans le jardin.
Photos par Eva McNAMARA