Les chemins du Jardin Botanique D’Eala courent à l’ombre des palmiers.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
Le manioc a l’avantage d’être relativement simple à produire et les feuilles sont préparées localement dans un plat appelé “mpondu”.
Les chenilles sont une source importante de revenues et de protéines pour les populations. Elles sont séchées au soleil pour permettre leur conservation.
Les chenilles sont un met réputé en RDC. Celles-ci sont récoltées en forêt pendant la saison, elles représentent une source de protéine, mais également une source importante de revenus.
Le drapeau de la RDC flotte au-dessus du Jardin Botanique d’Eala.
Des champignons sauvages.
Des plans de tabac près d’une habitation dans le village.
Le lapin est un animal intéressant pour les petits producteurs, car il a une croissance rapide et se reproduit rapidement.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
Les arbres atteignent une taille formidable dans les forêts de l’Equateur.
Comme le village de Bokumu-Mokola est assez isolé dans la forêt et les routes d’accès en mauvaises conditions, les enfants du village n’ont pour la plupart jamais vu d’étrangers.
Un arbre à pain dans le village de Bokumu Mokola.
Le jacquier est une espèce provenant du Sud-Est Asiatique, qui pousse très bien à l’Equateur.
Historiquement, le palmier à huile était l’une des principales culture a l’Equateur, mais actuellement la plupart des plantations sont abandonnées.
Le Dr. Wayne WALKER discute des limites du village.
Le Jardin Botanique d’Eala est le plus grand d’Afrique avec ses 371 hectares.
Du à l’état des routes et aux couts élevés des transports, le vélo reste le principal mode de transports de marchandises dans une grande partie de l’Equateur. Ceux-ci sont alors chargés avec autant d’huile de palme ou autres que possible dans l’espoir d’obtenir un prix plus élevés dans les centres urbains.
Une vache broute près de Gemena.
Le charbon de bois, appelé localement “makala”, est la principale source d’énergie pour la majorité de la population en RDC et la demande est importante dans les centres urbains. Le makala produit à l’Equateur est acheminé vers Kinshasa sur des pirogues dans l’espoir d’obtenir un meilleur prix en ville.
Le fleuve Congo est majestueux et rempli de véritables iles flottantes de végétation à certaines saisons. A son point le plus large, le fleuve fait plus de 10 km de large.
Melaine KERMARC, Joseph ZAMBO et le Dr. Glenn BUSH discute avec des chasseurs sur leur mode de vie.
La RDC est le premier consommateur mondial de manioc, mais le tubercule doit être transformé de façon appropriée avant d’être mangé, car il contient du cyanure.
Les limites physiques du village de Bokumu Mokola sont débattues lors d’une réunion communautaire.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Chaque espèce de chenilles est attirée par un arbre en particulier. On trouve des chenilles en larges quantités lors de la saison de reproduction.
A l’Equateur, la déforestation avance petit à petit, principalement due au besoin de terres arables pour l’agriculture itinérante sur brulis.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, avec l’aide du technicien de l’EADE, Robin BRUNET, ont réussi à attirer des abeilles dans une ruche au bureau du Projet.
Une femme dans le village de Bokumu Mokola prépare de la farine de maïs.
Les majestueux arbres centenaires sont nombreux autour du village de Bokumu Mokola.
Le bois de santal est rougeâtre et utilisé en médecine traditionnelle pour traiter les problèmes de peau.
Joseph ZAMBO, Melaine KERMARC et Emmanuel KABEMBA assure la représentation du Projet à Mbandaka.
Les palmiers poussent abondamment a l’Equateur et suivant l’espèce peuvent être utilisés pour produire de l’huile, du vin ou des toits de chaume.
Un arbre mort et les lianes qu’il abritait gisent sur le sol de la forêt primaire Equatorienne.
Le maïs est l’aliment de base au nord de la Province, il est préparé sous forme de farine, fermenté ou grillé en accompagnement de viande de chèvre par exemple.
De femmes performe une dance traditionnelle pour la réception de l’équipe du Projet.
La surpêche est un vrai risque pour les stocks de poissons à l’Equateur. Les Equatoriens sont très fières des espèces unique de poissons que l’on trouve dans le fleuve Congo et ses affluents, mais les stocks de poissons sont aujourd’hui à risque du a une croissance démographique bondissante et des pratiques de pêche non-durables.
Des chenilles de toutes les couleurs sont ramassées en forêt.
Malgré le fait que la papaye pousse très bien à l’Equateur, il est rare qu’elles soient activement plantées, car la consommation de fruits a une connotation négative comme une nourriture pour les pauvres ou les enfants.
Des nombreux fruits que l’on trouve à l’Equateur sont inconnus en Occident. Celui-ci est sucré et rappelle vaguement le gout de la poire, il est appelé échotier-monseigneur du à sa ressemblance avec la coiffe des ecclésiastiques catholiques.
Le Jardin Botanique d’Eala abrite de nombreuses espèces végétales.
L’équipe du Projet Equateur a été accueillie dans un ménage pendant une averse et offert un petit encas : manioc et chenilles à la sauce arachide.
Le fleuve Congo est la principale voie de communication entre Mbandaka et Kinshasa. Ici une barge remplie de bière a accosté pour la nuit à Mbandaka.
Le Point Focal Provincial REDD+, Joseph ZAMBO, et l’équipe du Jardin Botanique d’Eala discute de de l’emplacement de placettes expérimentales dans le jardin.
Une femme nous montre les chenilles qu’elle a collecté.
Le Dr. BUSH et le Dr. WALKER ont parcouru sur les limites de Bokumu Mokola et ils ont ainsi traversé plusieurs kilomètres de forêt primaire et secondaire.
Le ramboutan est un fruit sucré de la famille du lychee. Les ramboutaniers du jardin botanique murissent doucement. Quand ils seront mure, ils auront une couleur rouge vif.
Les habitants de Bokumu-Mokola peuvent apercevoir la forêt depuis leurs habitations.
Ce caméléon a été trouvé par un enfant lors de la visite d’un village pilote du Projet Equateur, cela porte chance selon la tradition !
Comme le veut la tradition, des cadeaux sont souvent offert à un invité. Ici un poulet a été offert au Dr. BUSH.
L’ananas pousse bien dans le climat Equatorien et il peut être multiplié par rejets.
Les arbres à chenilles sont facile à repérer en forêt, car les chenilles ont dévoré leurs feuilles les laissant dénudés.
Les pièges permettent d’attraper des rongeurs en forêt.
Le Dr. WALKER et le Dr. BUSH relève cette placette comme déboisée à l’aide d’un GPS pour la comparer avec l’analyse faite des images satellites.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, parle du changement climatique et de ressources forestières a la population de Buya I.
Les pièges sont très efficaces pour la chasse en forêt, comme pour attraper des cochons sauvages.
La vie à l’Equateur n’est pas facile, le Dr. Walker et le Dr. Bush essaye d’installer une pompe pour le puit au bureau de Mbandaka.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
Du mais sèche à même le sol dans une paroisse près de Gemena.
L’expert agricole de l’EADE, Robin BRUNET, vérifie la cuisson de brique pour la construction d’une école. C’est un travail difficile dans le climat déjà étouffant de l’Equateur.
Le Dr. Walker admire une liane près dans la région de Gemena.
Les arachides sont faciles à produire et sont souvent vendu par des petits vendeurs ambulants.
La pulpe blanchâtre du cacao est sucrée, cela contraste fortement l’amertume des fèves dont la renommée n’est plus à faire à travers le monde.
Une femme danse à Bokumu Mokola.
Une femme vend du charbon de bois au bord de la route à Gemena.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
A l’Equateur, le bétail est en général en divagation et peut ainsi endommager les cultures si celles-ci ne sont pas gardées.
La majorité du bois de chauffe est collecte par les femmes, qui ont tendance a collecter du bois mort plutôt que de couper des arbres. Ce travail prend beaucoup de temps et avec une population grandissante, elles sont obligées de s’aventurer de plus en plus loin pour trouver du bois.
Le perroquet gris est présent à l’Equateur, mais il est en danger. Celui-ci est gardé comme animal de compagnie dans une paroisse près de Gemena.
Un homme a installé un petit magasin sur son vélo près de Gemena.
La forêt est souvent déboisée pour obtenir un sol fertile pour la culture de manioc ou de maïs. Ici un bananier plantain a également été planté en association.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Les enfants se déplacent souvent sur les rivières et y pèchent ou collectent ce qu’ils peuvent trouver.
Une habitation a Bokumu Mokola.
Les champignons apprécient le climat humide de l’Equateur.