Le Dr. Walker admire une liane près dans la région de Gemena.
Comme le veut la tradition, des cadeaux sont souvent offert à un invité. Ici un poulet a été offert au Dr. BUSH.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
Des plans de tabac près d’une habitation dans le village.
Les limites physiques du village de Bokumu Mokola sont débattues lors d’une réunion communautaire.
Les pièges permettent d’attraper des rongeurs en forêt.
Une femme danse à Bokumu Mokola.
Un arbre à pain dans le village de Bokumu Mokola.
L’ananas pousse bien dans le climat Equatorien et il peut être multiplié par rejets.
Joseph ZAMBO, Melaine KERMARC et Emmanuel KABEMBA assure la représentation du Projet à Mbandaka.
Chaque espèce de chenilles est attirée par un arbre en particulier. On trouve des chenilles en larges quantités lors de la saison de reproduction.
La RDC est le premier consommateur mondial de manioc, mais le tubercule doit être transformé de façon appropriée avant d’être mangé, car il contient du cyanure.
Des nombreux fruits que l’on trouve à l’Equateur sont inconnus en Occident. Celui-ci est sucré et rappelle vaguement le gout de la poire, il est appelé échotier-monseigneur du à sa ressemblance avec la coiffe des ecclésiastiques catholiques.
La majorité du bois de chauffe est collecte par les femmes, qui ont tendance a collecter du bois mort plutôt que de couper des arbres. Ce travail prend beaucoup de temps et avec une population grandissante, elles sont obligées de s’aventurer de plus en plus loin pour trouver du bois.
Des chenilles de toutes les couleurs sont ramassées en forêt.
Le drapeau de la RDC flotte au-dessus du Jardin Botanique d’Eala.
Historiquement, le palmier à huile était l’une des principales culture a l’Equateur, mais actuellement la plupart des plantations sont abandonnées.
Melaine KERMARC, Joseph ZAMBO et le Dr. Glenn BUSH discute avec des chasseurs sur leur mode de vie.
Les champignons apprécient le climat humide de l’Equateur.
Le fleuve Congo est majestueux et rempli de véritables iles flottantes de végétation à certaines saisons. A son point le plus large, le fleuve fait plus de 10 km de large.
La production de café était historiquement importante à l’Equateur et les communautés locales le cultivent encore pour leur consommation personnelle.
L’équipe du Projet Equateur a été accueillie dans un ménage pendant une averse et offert un petit encas : manioc et chenilles à la sauce arachide.
La vie à l’Equateur n’est pas facile, le Dr. Walker et le Dr. Bush essaye d’installer une pompe pour le puit au bureau de Mbandaka.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, parle du changement climatique et de ressources forestières a la population de Buya I.
Les arbres à chenilles sont facile à repérer en forêt, car les chenilles ont dévoré leurs feuilles les laissant dénudés.
Le charbon de bois, appelé localement “makala”, est la principale source d’énergie pour la majorité de la population en RDC et la demande est importante dans les centres urbains. Le makala produit à l’Equateur est acheminé vers Kinshasa sur des pirogues dans l’espoir d’obtenir un meilleur prix en ville.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Les pièges sont très efficaces pour la chasse en forêt, comme pour attraper des cochons sauvages.
Le maïs est l’aliment de base au nord de la Province, il est préparé sous forme de farine, fermenté ou grillé en accompagnement de viande de chèvre par exemple.
Le jacquier est une espèce provenant du Sud-Est Asiatique, qui pousse très bien à l’Equateur.
Les palmiers poussent abondamment a l’Equateur et suivant l’espèce peuvent être utilisés pour produire de l’huile, du vin ou des toits de chaume.
Un homme a installé un petit magasin sur son vélo près de Gemena.
Le Dr. Wayne WALKER discute des limites du village.
Le Point Focal Provincial REDD+, Joseph ZAMBO, et l’équipe du Jardin Botanique d’Eala discute de de l’emplacement de placettes expérimentales dans le jardin.
Une vache broute près de Gemena.
Les arachides sont faciles à produire et sont souvent vendu par des petits vendeurs ambulants.
Une femme nous montre les chenilles qu’elle a collecté.
Le lapin est un animal intéressant pour les petits producteurs, car il a une croissance rapide et se reproduit rapidement.
La pulpe blanchâtre du cacao est sucrée, cela contraste fortement l’amertume des fèves dont la renommée n’est plus à faire à travers le monde.
De femmes performe une dance traditionnelle pour la réception de l’équipe du Projet.
Le Jardin Botanique d’Eala est le plus grand d’Afrique avec ses 371 hectares.
La surpêche est un vrai risque pour les stocks de poissons à l’Equateur. Les Equatoriens sont très fières des espèces unique de poissons que l’on trouve dans le fleuve Congo et ses affluents, mais les stocks de poissons sont aujourd’hui à risque du a une croissance démographique bondissante et des pratiques de pêche non-durables.
Les arbres atteignent une taille formidable dans les forêts de l’Equateur.
Les enfants se déplacent souvent sur les rivières et y pèchent ou collectent ce qu’ils peuvent trouver.
Le bois de santal est rougeâtre et utilisé en médecine traditionnelle pour traiter les problèmes de peau.
L’expert agricole de l’EADE, Robin BRUNET, vérifie la cuisson de brique pour la construction d’une école. C’est un travail difficile dans le climat déjà étouffant de l’Equateur.
Une femme vend du charbon de bois au bord de la route à Gemena.
Le Chef de Projet, Melaine KERMARC, avec l’aide du technicien de l’EADE, Robin BRUNET, ont réussi à attirer des abeilles dans une ruche au bureau du Projet.
Le manioc a l’avantage d’être relativement simple à produire et les feuilles sont préparées localement dans un plat appelé “mpondu”.
Une habitation a Bokumu Mokola.
Ce caméléon a été trouvé par un enfant lors de la visite d’un village pilote du Projet Equateur, cela porte chance selon la tradition !
Les chemins du Jardin Botanique D’Eala courent à l’ombre des palmiers.
Le Dr. BUSH et le Dr. WALKER ont parcouru sur les limites de Bokumu Mokola et ils ont ainsi traversé plusieurs kilomètres de forêt primaire et secondaire.
Des champignons sauvages.
Les habitants de Bokumu-Mokola peuvent apercevoir la forêt depuis leurs habitations.
La forêt est souvent déboisée pour obtenir un sol fertile pour la culture de manioc ou de maïs. Ici un bananier plantain a également été planté en association.
Une femme dans le village de Bokumu Mokola prépare de la farine de maïs.
Le fleuve Congo est la principale voie de communication entre Mbandaka et Kinshasa. Ici une barge remplie de bière a accosté pour la nuit à Mbandaka.
Les chenilles sont une source importante de revenues et de protéines pour les populations. Elles sont séchées au soleil pour permettre leur conservation.
Le Jardin Botanique d’Eala a été créé en 1900 par Emile LAURENT, le botaniste du Roi Léopold II de Belgique.
A l’Equateur, la déforestation avance petit à petit, principalement due au besoin de terres arables pour l’agriculture itinérante sur brulis.
Le Jardin Botanique d’Eala abrite de nombreuses espèces végétales.
Les majestueux arbres centenaires sont nombreux autour du village de Bokumu Mokola.
Du mais sèche à même le sol dans une paroisse près de Gemena.
Malgré le fait que la papaye pousse très bien à l’Equateur, il est rare qu’elles soient activement plantées, car la consommation de fruits a une connotation négative comme une nourriture pour les pauvres ou les enfants.
A l’Equateur, le bétail est en général en divagation et peut ainsi endommager les cultures si celles-ci ne sont pas gardées.
Du à l’état des routes et aux couts élevés des transports, le vélo reste le principal mode de transports de marchandises dans une grande partie de l’Equateur. Ceux-ci sont alors chargés avec autant d’huile de palme ou autres que possible dans l’espoir d’obtenir un prix plus élevés dans les centres urbains.
Le Dr. WALKER et le Dr. BUSH relève cette placette comme déboisée à l’aide d’un GPS pour la comparer avec l’analyse faite des images satellites.
Il existe quelques concessions forestières industrielles en RDC, mais la foresterie “artisanale” représente la majorité de l’exploitation à ce jour.
Le ramboutan est un fruit sucré de la famille du lychee. Les ramboutaniers du jardin botanique murissent doucement. Quand ils seront mure, ils auront une couleur rouge vif.
Un arbre mort et les lianes qu’il abritait gisent sur le sol de la forêt primaire Equatorienne.
Les chenilles sont un met réputé en RDC. Celles-ci sont récoltées en forêt pendant la saison, elles représentent une source de protéine, mais également une source importante de revenus.
Le perroquet gris est présent à l’Equateur, mais il est en danger. Celui-ci est gardé comme animal de compagnie dans une paroisse près de Gemena.
Comme le village de Bokumu-Mokola est assez isolé dans la forêt et les routes d’accès en mauvaises conditions, les enfants du village n’ont pour la plupart jamais vu d’étrangers.